Promenade de huit heures cinquante. Pas de brouillard ce matin et un soleil très pâle pour donner une impression d'orient au jardin. Une promenade dans le silence, une petite tasse de café à la main. Une impression d'orient même sans recourir à la vision des bonsaïs, à un regard tendre sur la saison qui les vieillit. Une impression d'orient seulement.
La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
dimanche 16 septembre 2012
Promenade de huit heures cinquante.
Promenade de huit heures cinquante. Pas de brouillard ce matin et un soleil très pâle pour donner une impression d'orient au jardin. Une promenade dans le silence, une petite tasse de café à la main. Une impression d'orient même sans recourir à la vision des bonsaïs, à un regard tendre sur la saison qui les vieillit. Une impression d'orient seulement.
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