dimanche 26 juin 2011

Promenade de quinze heures trente.

La chaleur s'est imposée en quelques heures. Je portais sur les épaules un lourd pull-over hier, sur le coup de vingt-deux heures.
Après la nuit, tout les vêtements sont à oublier. Il fait lourd et moite. Plus de vingt-cinq degrés, au thermomètre plombé. Avant de faire revivre l'abutilon, je me promène de parterres en plate-bandes. Les spirées ont fière allure. Déjà, en quelques heures, elles viennent de prendre de la mesure dans ce bel espace...
Plus loin, les couleurs viennent faire un clin d'oeil aux bordures et aux sacs en osier. Je marche doucement. je serais mieux sous le parasol. Il fait brutalement lourd. Un petit coup de fil à ma chérie qui marche dans les sentiers de Wallonie avec ses petits et son compagnon dans la chaleur d'un été retrouvé...
Je viens de sortir du coffre de la voiture le sac de terreau qu'il me faudra utiliser pour fertiliser la transplantation de l'abutilon. Lui tirer les racines hors du pot et lui donner de la vigueur.

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