mardi 14 juin 2011

Promenade de vingt-heures vingt-six.

C'est un foutu moment d'après l'orage. celui qui n'est pas tombé ici mais qui, d'ailleurs, change le temps, envoie nuages et moiteur. Il faut sortir à ces heures là dans la prairie (on disait la pelouse...). Oser marcher pieds nus et écouter les merles et les étourneaux qui rient sur le toit en vous regardant. j'aime bien, deux fois par an au plus, cette atmosphère lourde. j'aime surtout les belles promesses du lendemain. Ce soir le classique chicon au gratin. Pas de recette à donner, il n'y a rien à dire sur ce plat qui dit mieux que tous, l'envie de faire à l'économie et au meilleur.
Aucune chance, en laissant dorer l'emmental en croûte, qu'il se trouve autour des assiettes un râleur... Aucune chance de trouver un convive qui rechigne à savourer l'ail de la cuisson. Aucune autre chance de trouver un gourmand qui se préfère diététicien.

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