J'étais prête à confier la cuisson de la viande à l'expertise du papy et de son barbecue mais, au dernier moment, alors que le ciel se couvrait,
j'ai renoncé à cuire dehors. La lourde poêle est sortie et les pommes de terre cuisent déjà. Les jonagold, débitées en petits quartiers tombent dans la graisse, s'adoucissent mais restent fermes. Et puis, ce verre de cidre artisanal qui vient donner toute sa saveur à la préparation. j'ajoute la crème. Reste la viande qui a commencé à rosir, que la couenne, qui grésille, force à cuire. Promesse déçue. Je ne m'enthousiasme pas pour la viande pourtant parfaitement goûteuse. Le papy s'emballe mais je picore. Dommage.
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