La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
mercredi 13 juillet 2011
Moussaka comme à la côte...
Toutes les tomates en train de trop mûrir vont y passer... L'aubergine que le papy ramène de son périple quotidien est généreuse et sobre. Les oignons vont me faire pleurer et je vais passer un sacré bout de temps à manoeuvrer la sauce béchamel. Le haché vient du boucher du bord de Meuse. Il s'agit ce soir de préparer cette bonne moussaka héritée des pratiques rapides et simples d'un hôtel de la côte (Pierre et Gabriel). Deux jours si l'appétit est prévisible et régulier, moins si la gourmandise s'invite à table. Nous avons déjeuné tôt aujourd'hui et une petite ouverture d'appétit au Maredsous n'est pas inutile. De quoi prendre patience avant le dîner. Il fait gris, grigneux, grincheux et même froid. C'est dire.
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