La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
dimanche 21 août 2011
Panga.
J'ai, pour manger, trop souvent le goût européen. Je me contente du lisse. Tenez, pour le poisson, je mange ce qui se revendique sans arêtes et je renonce aux plus goûteuses promesses si le poisson a mauvaise tête. Je devrais être comblée avec le pangasius, ce poisson cultivé en bassin industriellement qu'on jurerait fait pour moi. Une chair blanche et pas d'arêtes. Ben oui, les filets sont faciles à lever et à paner mais bon, je vous le concède, question saveur, il n'y a rien à en retirer. Sauf à le noyer dans la sauce, je crains le fade pour ce poisson. Du citron vert pour réveiller le palais.
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