C'est un potimaron rude et coriace en lieu et place du potiron, mais il fera l'affaire pour cette soupe rustique. Oui, je peine à débiter les morceaux de chair et il me faut encore peler les carottes. Dans la casserole où tout repose enfin, je verse le bouillon de légumes, la température va grimper jusqu'à l'ébullition. Je laisse cuire pendant une petite demi-heure. Après avoir mixé la soupe, j'ajoute le jus d'une orange et une cuillère à café de curry, un peu de piment en poudre, du sel et du poivre. je laisse faire le feu pendant cinq minutes encore. Le reste vous est connu. Laisser tomber dans la soupe une signature de crème fraîche et jetez une petite, toute petite poignée de persil dans l'assiette brûlante.
La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
lundi 24 octobre 2011
Soupe au potimaron.
C'est un potimaron rude et coriace en lieu et place du potiron, mais il fera l'affaire pour cette soupe rustique. Oui, je peine à débiter les morceaux de chair et il me faut encore peler les carottes. Dans la casserole où tout repose enfin, je verse le bouillon de légumes, la température va grimper jusqu'à l'ébullition. Je laisse cuire pendant une petite demi-heure. Après avoir mixé la soupe, j'ajoute le jus d'une orange et une cuillère à café de curry, un peu de piment en poudre, du sel et du poivre. je laisse faire le feu pendant cinq minutes encore. Le reste vous est connu. Laisser tomber dans la soupe une signature de crème fraîche et jetez une petite, toute petite poignée de persil dans l'assiette brûlante.
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