Le petit chou s'intrigua des cris de l'ail à la fête dans l'huile chaude.
Curieux, il se pencha pour entendre. Tellement, qu'il perdit l'équilibre. Il bascula sans le vouloir dans la graisse brûlante. Les morceaux d'ail se moquèrent bien haut de la stupidité du chou. Vexé, le chou aspira leur senteur, leur ardeur, leur ferveur. A leur en vider la gousse, jusqu'à ce qu'elles se plaignent : aïe.
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