Descendre l'abutilon de son grenier. Deux volées d'escaliers à descendre en douceur, marche par marche. Pour éviter des dégâts aux branches supérieures qui griffent le plafond. Les pucerons se sont installés sur les feuilles. Un traitement s'impose, un petit brossage aussi. Un rempotage express avec une petit coup de peigne et de ciseaux dans la toison des racines. Le vent est violent soudain. il s'est levé en même temps que les nuages disparaissaient et que la température montait en quelques minutes de près de huit degrés. Les oiseaux chantent et le dimanche d'aujourd'hui devient bien agréable.
La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
dimanche 29 avril 2012
Descendre l'abutilon...
Descendre l'abutilon de son grenier. Deux volées d'escaliers à descendre en douceur, marche par marche. Pour éviter des dégâts aux branches supérieures qui griffent le plafond. Les pucerons se sont installés sur les feuilles. Un traitement s'impose, un petit brossage aussi. Un rempotage express avec une petit coup de peigne et de ciseaux dans la toison des racines. Le vent est violent soudain. il s'est levé en même temps que les nuages disparaissaient et que la température montait en quelques minutes de près de huit degrés. Les oiseaux chantent et le dimanche d'aujourd'hui devient bien agréable.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire