Traîner contre les carrés qui sont devenus trop énormes, trop volumineux. Les fleurs ont fini une partie de leur vie et les choux, les tomates, les piments, les poivrons se demandent comment il faudra arrêter leur progression. Jamais, je n'imaginais pareille envolée dans le chef de ces jeunes plants sollicités pour la première fois au milieu du printemps. Tiens, demain, c'est l'été et je n'ai rien dit encore des deux rosiers qui s'ouvrent sur le devant de la porte, en façade. Les bourgeons se sont ouverts sur des couleurs chaudes et épaisses. Pas encore de pétales mais une envie de bien s'ouvrir.
La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
mercredi 20 juin 2012
Promenade au pif et au nez attentif.
Traîner contre les carrés qui sont devenus trop énormes, trop volumineux. Les fleurs ont fini une partie de leur vie et les choux, les tomates, les piments, les poivrons se demandent comment il faudra arrêter leur progression. Jamais, je n'imaginais pareille envolée dans le chef de ces jeunes plants sollicités pour la première fois au milieu du printemps. Tiens, demain, c'est l'été et je n'ai rien dit encore des deux rosiers qui s'ouvrent sur le devant de la porte, en façade. Les bourgeons se sont ouverts sur des couleurs chaudes et épaisses. Pas encore de pétales mais une envie de bien s'ouvrir.
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