Tellement de temps depuis ce séjour à Barcelone. Souvenir d'une estivale torpeur, du bruit des voitures et des joueurs-tricheurs, gagneurs à la sauvette sur la place de catalogne. Souvenir de ces dragueurs qui, sur le haut de la ville, tournent au volant de leur voiture jusqu'à trouver la femme d'une nuit qui traîne là surement par hasard. Les petits cafés au comptoir dans les petits cafés des Ramblas.
Les repas somptueux au Corte Inglés, au dernier étage de ce grand magasin qui annonce des rabajas à longueur d'années. Quelques photographies ramenées de là parles petits. Quelques saveurs remises à plus tard, quelques senteurs insolentes. Les épices, les fruits et les douceurs partagées. On mange l'Espagne autant qu'on la parcourt, qu'on la visite, qu'on la traque, que finalement aussi, on la perd.
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