j'aurais du préférer la pâte brisée à celle-ci, feuilletée. Le moule à tarte est d'abord beurré. La pâte lui tombe dessus et est parsemée de coups de fourchette. Avant tout, laver et essuyer les tomates, égoutter le thon, le débiter en morceaux.
Les choses sérieuses commencent : Battre au fouet les oeufs, la crème, le lait. Plus d'énergie, s'il vous plaît...
Une cuillère à soupe de moutarde, du poivre et la ricotta, grossièrement émiettée. Le tout valse et s'enroule autour du fouet... Préparer la cuisson en badigeonnant le fond de la tarte de moutarde douce... Ajouter la moitié des rondelles de tomates et le thon en miettes. Verser, sur cette couche d'ingrédients, l'appareil qui a été vaillamment secoué.
Recouvrir d'une autre couche de tomates, saupoudrer de graines de moutarde et parsemer, avant de jeter au four, de Grana Padano, ce fromage délicat en apparence mais tellement goûteux. Trente-cinq minutes de cuisson à cent-soixante degrés. Non, pousser à cent-quatre-vingt... Il y a une belle épaisseur à cuire... Une salade mixte, en accompagnement, et le temps de laisser refroidi la tarte, jusqu'à ce qu'elle devienne tiède. A l'issue du repas, pas assez équilibré et relevé à mon goût, une promenade dehors. Les capucines commencent à tendre les tiges vers la lumière. Peu de fleurs écloses mais des promesses de parterres.
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