Faire d'abord ceci. Badigeonner le coeur de cabillaud de pesto rouge. Enfourner un petit quart d'heure à cent quatre-vingt degrés. Dans l'eau bouillante, cuire al dente, les spaghetti, avec une cuillerée d'huile pour amuser les bouillons. L'huile encore accueille l'ail qui va suer en compagnie des tomates concassées. Tous les ingrédients sont prêts pour confectionner le plat. Jeter sur les pâtes, le poisson qui se défait en dés. Manger tant que la chaleur conduit le plaisir. Simple mais goûteux.
La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
jeudi 17 novembre 2011
Pâtes au cabillaud et pesto rouge.
Faire d'abord ceci. Badigeonner le coeur de cabillaud de pesto rouge. Enfourner un petit quart d'heure à cent quatre-vingt degrés. Dans l'eau bouillante, cuire al dente, les spaghetti, avec une cuillerée d'huile pour amuser les bouillons. L'huile encore accueille l'ail qui va suer en compagnie des tomates concassées. Tous les ingrédients sont prêts pour confectionner le plat. Jeter sur les pâtes, le poisson qui se défait en dés. Manger tant que la chaleur conduit le plaisir. Simple mais goûteux.
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