C'est dans le gigot que le boucher Baeken découpe la pièce rouge et dense qu'il va débiter en morceaux généreux, trois quatre centimètres de côté. Une daube en préparation. La viande sera superbe. Pour le reste j'improvise. La semoule pour accompagner la ronde et dense sauce épicée de partout au monde de l'Afrique du nord, mais aussi de la Wallonie. Il faut compter une dizaine de saveurs dans les poudres d'accompagnement. Je pense que le repas ne s'accommoderait pas d'un plein air. Cela tombe bien puisque les grêlons claquent contre les vitres. Un dernier petit raisin sec dans la semoule.
La somme des petits instants, le lien ténu, le regard tendre, l'attention. Les envies de bien manger ou goûter simplement, curieusement. Le devoir d'élever et d'aimer. La vie dans les arbres. Les petits arbres. La vie dans le potager et les parterres. Le relevé tendre et complice de mes petits penchants, de mes habitudes, de mes petites inquiétudes et de mes grandes faims...
dimanche 22 avril 2012
Daube d'agneau.
C'est dans le gigot que le boucher Baeken découpe la pièce rouge et dense qu'il va débiter en morceaux généreux, trois quatre centimètres de côté. Une daube en préparation. La viande sera superbe. Pour le reste j'improvise. La semoule pour accompagner la ronde et dense sauce épicée de partout au monde de l'Afrique du nord, mais aussi de la Wallonie. Il faut compter une dizaine de saveurs dans les poudres d'accompagnement. Je pense que le repas ne s'accommoderait pas d'un plein air. Cela tombe bien puisque les grêlons claquent contre les vitres. Un dernier petit raisin sec dans la semoule.
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