Encore un regard nostalgique sur le repas qui conviât la poirée du carré. Dégusté hier à peine chaud, le voici aujourd'hui version apéritive. Froide. Plus dense, les oeufs ont stabilisé la tarte et le riz s'est accroché aux légumes. Découpé en quartiers, voilà un hôte qui s'invite parfaitement comme amuse-gueules. J'ai repiqué un plant de menthe que je devine ambitieux. La pluie est annoncée jusqu'au milieu de la semaine prochaine. les rosiers traînent à éclore. J'hésite à arpenter le jardin. Depuis un petit mois, je passe des escaliers aux allées, je traîne autour des carrés de bois. Je m'invente mes propres allées. Les charmes sont passés chez le coiffeur, toutes les haies ont fière allure. Le parasol reste, hélas, replié sur lui-même.
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