dimanche 18 novembre 2012

Goulash papy (2)

La préparation est de longue haleine même si la dernière heure et demi est plutôt paisible et laissée à la discrétion des plaques de chauffage et de la friture pour l'accompagnement. C'est le nez, après les paluches et les fourchettes, qui est sollicité entre l'ardeur du poivron et celle du calvados, entre celle de la caramélisation de la sauce de la viande et celle des tomates denses. Cette cuisson, toute de patience, est quand même une sacrée belle aventure du goût. Ma fille chérie est partie passer, avec son grand homme, quelques heures à la côte. A Ostende, semble-t-il. De quoi retrouver un peu d'énergie. Un peu de tout.

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